LE GICAM ET L’APECCAM-BANQUES PLAIDENT POUR UN ASSOUPLISSEMNT DU COÛT DES TRANSFERTS

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Le président du Groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam), Célestin TAWAMBA, et son homologue, Alphonse NANFACK, de l’Association professionnelle des établissements de crédit du Cameroun (APECCAM), ont décidé la semaine passée de saisir en urgence le régulateur et la Banque centrale pour obtenir des mesures d’assouplissement devant aider à éviter une catastrophe économique.

L’application des nouvelles mesures, un an après la réglementation des changes de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), se révèle plus complexe, au moment où l’activité économique est quasiment au point mort. Le Gicam et l’Apeccam se sont joint la semaine passée afin d’obtenir de la Banque centrale des mesures de modération qui prendraient en compte l’esprit et les objectifs du contrôle de changes.

C’est la principale information à retenir de la rencontre d’échanges qui a eu lieu entre Gicam-Apeccam-banques, organisée la semaine dernière à Douala. Une rencontre consacrée à l’examen des problèmes de financements des entreprises au Cameroun. Cette rencontre intervient alors que le ralentissement de l’activité économique est un fait, l’a fait observer Célestin TAWAMBA.  

« Nous comprenons ces nouvelles mesures de contrôle, mais elles doivent se faire en tenant compte de conjoncture économique actuelle. On ne peut pas admettre qu’en ce moment où on accompagne les entreprises partout dans le monde, que l’on se retrouve dans notre environnement en train de mettre les mesures qui bloquent l’activité économique. C’est pourquoi, on invite donc la BEAC à tenir compte de ce contexte et d’assouplir ces mesures », déclare Célestin TAWAMBA.

En effet, le président du Gicam indique que « les dispositions de la Beac entrainent aujourd’hui des blocages dans l’activité ». Le coût des transferts et la réglementation autour ne favorisent pas les échanges conséquents. Et plus grave, certains transferts sont actuellement bloqués à cause de ces nouvelles mesures, malgré qu’elles soient compréhensibles.

« C’est une problématique qui est liée à la réglementation des changes qui impacte normalement sur les transferts. Aujourd’hui, l’effort qui est fait par l’Apeccam, c’est de contribuer à ce que les clients prennent toute la mesure des réformes qui ont été faites et qu’elles les appliquent ». Explique le président de l’Apeccam-banques qui s’inscrit dans la même lancée que Célestin TAWAMBA.

« Il faut le reconnaître, elle est rigide. Tous les acteurs n’ont pas pris la mesure et s’adaptent avec un peu de lenteur », précise le président de l’Apeccam.

 « Nous allons continuer à accompagner nos clients à échanger avec la Banque centrale pour que les mesures d’assouplissement, si elles sont possibles, qu’elles soient prises. C’est l’action que nous allons conduire avec le président du Gicam auprès du président de la Banque centrale », ajoute-t-il. Malgré tout, l’Apeccam continue de soutenir ses membres.  

C’est la principale information à retenir de la rencontre d’échanges qui a eu lieu entre Gicam-Apeccam-banques, organisée la semaine dernière à Douala. Une rencontre consacrée à l’examen des problèmes de financements des entreprises au Cameroun. Cette rencontre intervient alors que le ralentissement de l’activité économique est un fait, l’a fait observer Célestin TAWAMBA.  

« Nous comprenons ces nouvelles mesures de contrôle, mais elles doivent se faire en tenant compte de conjoncture économique actuelle. On ne peut pas admettre qu’en ce moment où on accompagne les entreprises partout dans le monde, que l’on se retrouve dans notre environnement en train de mettre les mesures qui bloquent l’activité économique. C’est pourquoi, on invite donc la BEAC à tenir compte de ce contexte et d’assouplir ces mesures », déclare Célestin TAWAMBA.

En effet, le président du Gicam indique que « les dispositions de la Beac entrainent aujourd’hui des blocages dans l’activité ». Le coût des transferts et la réglementation autour ne favorisent pas les échanges conséquents. Et plus grave, certains transferts sont actuellement bloqués à cause de ces nouvelles mesures, malgré qu’elles soient compréhensibles.

« C’est une problématique qui est liée à la réglementation des changes qui impacte normalement sur les transferts. Aujourd’hui, l’effort qui est fait par l’Apeccam, c’est de contribuer à ce que les clients prennent toute la mesure des réformes qui ont été faites et qu’elles les appliquent ». Explique le président de l’Apeccam-banques qui s’inscrit dans la même lancée que Célestin TAWAMBA.

« Il faut le reconnaître, elle est rigide. Tous les acteurs n’ont pas pris la mesure et s’adaptent avec un peu de lenteur », précise le président de l’Apeccam.

 « Nous allons continuer à accompagner nos clients à échanger avec la Banque centrale pour que les mesures d’assouplissement, si elles sont possibles, qu’elles soient prises. C’est l’action que nous allons conduire avec le président du Gicam auprès du président de la Banque centrale », ajoute-t-il. Malgré tout, l’Apeccam continue de soutenir ses membres.  

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