Le nouveau variant découvert Mardi dernier serait venu du Cameroun. Cette mutation ayant reçu le nom de B.1.640.2, est “un variant sous surveillance” selon l’Organisation Mondiale de la Santé(OMS).
Cette nouvelle découverte a suscité plusieurs interrogations et paniques, au sein de l’opinion mondiale, surtout au Cameroun. Étant donné que le Cameroun accueille la CAN TOTAL ENERGIES 2021, dans trois jours, il était normal de s’inquiéter. C’est après la communication rassurante du virologue Steven Van GUCHT, expert de l’État français, que tous ont été apaisés du risque. D’après ses propos, “Il est normal que le virus mute. Il le fait presque tous les jours(….), nous ne devons pas nous inquiéter”, explique-t-il sur Het Laatste Nieuws. En effet, une personne ayant pris l’avion, depuis le Cameroun pour le sud de la France aurait selon 7 sur 7 ACTU, infecté au moins douze personnes avec un nouveau variant. Toujours en lisant sur les lignes de ce journal, les personnes infectées présentent des “combinaisons de mutations atypiques”, publié sur MedRxiv.
Ce phénomène est tout à fait normal
Les mutations ne sont pas nécessairement dangereuses. Les virus pénètrent dans les cellules et se copient ensuite eux-mêmes. Au cours de ce processus de copie, de petites erreurs de copie sont parfois commises. Ces erreurs sont appelées “mutations”.
La réaction du gouvernement et ses experts, rassure la population à ne pas s’inquiéter: “Que des variants surgissent ici et là est tout à fait normal. Tant qu’une mutation ne l’emporte pas sur omicron ou delta, il n’y a pas grand-chose à craindre. Nous avons également d’autres variants en Belgique. Parfois, il s’agit de variants étranges que l’on ne voit qu’une fois. C’est tout à fait normal. Il ne signifie rien en soi. Le virus continue de muter. De nouveaux variants apparaissent ici et là chaque semaine ou chaque mois. C’est la nature du virus, mais dans ce cas, nous n’avons rien à craindre.”, clarifie l’expert en virologue Steven Van Gucht.
Placé sous surveillance…
Ce variant de B.1.640 a été classé comme “variant sous surveillance” par l’ OMS depuis le mois de Novembre dernier: “L’impact épidémiologique du variant n’est pas clair”, indique le site web de l’OMS.
Et après diagnostic et examen, les scientifiques de l’IHU Méditerranée Infection à Marseille, ressortent que les mutations détectées dans ce cas, sont N501Y et E484K. N501Y inclu dans le variant alpha est connu pour se lier plus fortement aux cellules et est sujet à se propager plus facilement.
Jusqu’ici, une autre information n’est encore été connue sur ce variant découvert en France. “Ce variant fait l’objet d’une enquête plus poussée”, a déclaré l’OMS.