Présidentielle 2018 : Hauts-Plateaux : Les populations appelées à voter le Roi et non son Sujet.
L’un des thèmes développés par l’équipe de campagne du Rdpc dans le département des Hauts-Plateaux est qu’ « un Baham ne doit pas défier son chef, même si on est en démocratie. »
L’un des thèmes développés par l’équipe de campagne du Rdpc dans le département des Hauts-Plateaux est qu’ « un Baham ne doit pas défier son chef, même si on est en démocratie. »
Voter Paul Biya …C’est voter le sénateur Pokam Max II.
En effet l’élection présidentielle du 07 octobre prochain intervient quelques mois seulement après les sénatoriales. Elections sénatoriales pour lesquelles, le chef Baham S.M Pokam Max II a été élu, grâce à Son Excellence Paul Biya, président national du Rdpc qui l’a mis sur la liste des candidats de l’Ouest.
En attendant d’entrer effectivement en campagne, les cadres du Rdpc des différentes sections des Hauts-Plateaux, les élites intérieures et extérieures des groupements ont littéralement investi le terrain. Allant de village en village, de sous-section en sous-section, de quartier en quartier, de comité de base en comité de base, de bloc à bloc pour redire au peuple qu’il n’a pas droit à l’erreur , que le Cameroun tout entier a le regard tourné vers Baham, pour voir si ce peuple que l’on qualifie de sage va se tromper 07 octobre prochain.
Lors des échanges avec les populations locales de Baham, le Pr Luc Sindjoun, ministre, Conseiller spécial du président de la République et toute son équipe ont rappelé que Baham n’a pas à hésiter, qu’il doit voter Paul Biya , que les Hauts-Plateaux n’ont pas droit à l’erreur, qu’ils doivent voter le candidat du Rdpc S.E Paul Biya. D’abord en respect de la confiance que le chef de l’Etat a toujours placé en ce peuple, ensuite pour les nominations de ses fils à des hautes fonctions, également voter Paul Biya pour ses réalisations visibles dans le département en général et à Baham en particulier. Il faut voter le président national du Rdpc, chef de l’Etat qui a permis au Chef Baham, Sa Majesté Pokam Max II de devenir sénateur. Après avoir en 1992, permis à Baham de devenir le chef-lieu du département des Haut-Plateaux.
Dans le groupement Baham, à la suite du Pr Luc Sindjoun, Dr Kouam Emile, honorable Sonké Benjamin, Dr Simo Augustin, le maire Teguia Kamdem Isidore ont insisté pour que le peuple comprenne que même si tout les électeurs Baham votent un autre candidat fut il leur fils, il ne sera pas président de la République. Car l’électorat Baham ne représente pas grand-chose par rapport aux 6 500 000 électeurs annoncés par Elections Cameroon.
Et de rappeler par ailleurs que pour avoir été collaborateur du chef de l’Etat ( « Walah » pour reprendre les terminologies de l’honorable Sonké); Maurice Kamto n’a pas le droit de viser son fauteuil. Car dira-t-il un « Walah » surveille le fauteuil du chef sans envier sa place.
L’équipe de pré campagne a sensibilisé les populations à ne pas céder au discours de la haine, de la provocation, de menace de mort devenu le thème majeur de campagne d’un candidat à court d’idées constructives.
Pour ne pas faire les choses à moitié Luc Sindjou, ministre conseiller spécial du président de la République, membre de la commission régionale de campagne du Rdpc, monsieur Gamo Timothée, président de la commission départementale de campagne Rdpc des Hauts-Plateaux, les présidents des quatre sections ont réuni les élites pour la mobilisation des ressources financières pour une campagne et une élection réussies. Ils veulent ainsi éviter que les équipes de campagne sur le terrain ne rencontrent des difficultés financières dans leur évolution.