Le Pr Louis Richard Njock, Représentant du Ministre de la Santé Publique, a présidé le jeudi 11 avril 2024, la cérémonie d’ouverture du 32ème Congrès de la SOGOC.
Sous le Haut patronage du Ministre de la Santé Publique, le 32ème Congrès de la Société des Gynécologues et Obstétriciens du Cameroun (SOGOC) s’articule autour du thème “La Gynécologie-Obstétrique en Afrique Sub-saharienne : Entre tradition et modernité”. Avec 35 années d’existence, la SOGOC se distingue comme l’une des plus anciennes sociétés savantes médicales ayant organisé 32 Congrès à ce jour.
Pour le Président du Congrès, le Pr René Xavier Perrin, ce rendez-vous est l’occasion de se pencher sur les problématiques de Santé Publique dans un pays leader dans la sous-région en matière de chirurgie endoscopique, de gynécologie et d’aide médicale à la procréation. Il souligne l’évolution remarquable de ces domaines qui étaient autrefois des rêves devenus réalité dans de nombreux centres, tant publics que privés.
Le Congrès offre ainsi une tribune pour mettre en lumière les avancées scientifiques internationales, avec un accent particulier sur la santé des femmes et des mères, pour enrichir les pratiques quotidiennes des professionnels.
Le Pr Émile Mboudou, Président du Comité d’Organisation, exprime sa gratitude au Ministre de la Santé Publique pour leur implication dans l’élaboration des normes et procédures. Il réaffirme l’engagement de la SOGOC en tant que partenaire fiable du gouvernement, soulignant l’importance de continuer à investir dans les infrastructures et la formation du personnel médical pour réduire le taux de décès maternels.
Au cours du Congrès, des formations sur diverses techniques de la SOGOC, des conférences animées par des experts, des symposiums et des discussions auront lieu, offrant une occasion d’échange entre jeunes et moins jeunes, experts et apprenants.
Le Pr Louis Richard Njock souligne l’engagement du gouvernement envers la SOGOC et félicite les organisateurs pour leurs initiatives visant à améliorer la santé des citoyens, en mettant l’accent sur la santé maternelle et infantile. Il encourage également la poursuite de la formation médicale continue pour garantir que les professionnels restent à jour avec les normes internationales.